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Julien Goachet a termin\u00e9 dix-neuvi\u00e8me des championnats du monde de Samorin avec Amelia du Cayrou, d\u00e9crochant la m\u00e9daille d\u2018argent avec l\u2019\u00e9quipe de France.<\/h2>\n
\n\u00ab\u00a0En quinze ans de carri\u00e8re, Julien Goachet s’est forg\u00e9 la stature d’un grand de l’endurance. Le 16 septembre \u00e0 Samorin, ce Breton de trente-sept ans s’est class\u00e9 dix-neuvi\u00e8me de ses premiers championnats du monde avec Amelia du Cayrou, participant \u00e0 la m\u00e9daille d’argent de l’\u00e9quipe de France. Du finist\u00e8re \u00e0 la Slovaquie en passant par Duba\u00ef, il brille comme un cavalier, mais aussi comme entra\u00eeneur avis\u00e9 chez qui sont pass\u00e9s quatre des chevaux class\u00e9s dans le top vingt de ces mondiaux.Portrait.\u00a0\u00bb<\/em>\u00a0Pierre Jambou
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Julien Goachet, \u00e9toile montante de l'endurance<\/title>\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\t\n\t\n\t\n\n\n\n\t\n\t\n\t\n